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Dossier de la Rédaction

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Bottes rouges, le modèle du trentenaire

A l’occasion des 30 ans de la Garde présidentielle, un numéro hors-série du magazine de cette unité retrace son parcours.


L’histoire des insignes de la Garde présidentielle (GP). Difficile d’imaginer que leur auteur, Georges Gara, gendarme-major en 1989, est encore en service dans cette unité d’élite. Aujourd’hui avec le grade de chef d’escadron. Les différents chefs de la GP, de l’intérimaire chef de bataillon Isidore Ondoua Amvene au lieutenant-colonel Raymond Jean Charles Beko’o Abondo en passant par les colonels Titus Ebogo, Jean Paul Mengo, Jean Mendoua (aujourd’hui contre-amiral), Raymond Thomas Etoundi Nsoé, tous y sont. La livraison hors-série N°2 du magazine Bottes rouges retrace les trois décennies de ce corps. Une quinzaine de pages revient sur l’histoire de cette unité née des cendres de la défunte Garde républicaine (GR) au lendemain des événements malheureux d’avril 1984. On est néanmoins bien loin des « 42 » pionniers qui ont été appelés à assurer la transition entre la GR et la GP en 1984.

Le lecteur pourra ainsi voir et lire comment l’on est passé du poussiéreux camp militaire des débuts à ce qu’est aujourd’hui le « repaire » de celle que le mythique Titus Ebogo classe en tête des unités d’élite de nos forces de défense. La Garde présidentielle a décidément fait du chemin. Même si ses missions sont restées identiques. A savoir assurer la protection du président de la République, de ses hôtes, des membres de sa famille et des résidences présidentielles. Certains de ceux qui y ont travaillé depuis 1985, ou qui y sont nés y sont encore. Ayant choisi d’y faire carrière pour ces derniers.

Même le phénomène Golden Sounds, avec son titre à succès « Zangelewa », groupe qui fit son apparition sur la scène musicale vers la fin de l’année 1986 est raconté. Le journal promène son lecteur dans une histoire qui n’a pas toujours été aussi simple que l’on pourrait l’imaginer. Quoi de mieux que des images pour le faire comprendre. On est bien loin de cette unité dont les éléments se faisaient déposer à l’entrée du palais présidentiel par des autobus de la société de transport en commun de l’époque. Même si pour l’actuel maître des lieux, le lieutenant-colonel Beko’o Abondo, la GP a aujourd’hui atteint l’âge de la raison. Même s’il s’agit de tout faire pour « maintenir le cap en vue du rendez-vous pour l’émergence du Cameroun ».

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