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Dossier de la Rédaction

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Le duel Yaoundé I-Douala aux Jeux universitaires 2015

Les épreuves d’athlétisme et de lutte ont consacré d’autres médaillés mardi.

En attendant que les phases éliminatoires se terminent du côté de la majorité des disciplines, notamment les sports collectifs, les épreuves d’athlétisme constituent la principale attraction pour voir les premiers médaillés des Jeux. Mardi, sept finales se sont disputées du côté du stade du Renouveau, remettant quelque peu en cause la domination de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS). Si celui-ci compte une dizaine de victoires à son actif, il était pourtant devancé au terme des épreuves d’athlétisme au niveau du précieux métal.

L’université de Yaoundé I, établissement hôte de la compétition et l’Institut universitaire du Golfe (IUG) ont en effet glané chacun deux métaux en or. La « mère des universités », qui compte du coup quatre médailles en or, s’est illustrée dans les épreuves de 400 m. Chez les messieurs, Tepndap Nsangou a été le plus rapide, tandis qu’en dames, Marissouck Goniki a devancé ses adversaires. L’une des stars de la journée est sans doute William Feumbah (IUG), vainqueur presque facile du 200 m messieurs en 22’’2 s. Il s’agit de la deuxième médaille en or de l’athlète, après celle glanée sur 100 m la veille. Du côté des dames, Germaine Abessolo (Université de Yaoundé II) a également réalisé le doublé en s’adjugeant le 200 m à la suite du 100 m, avec un chrono de 24’’4 s.

Dans les concours, Madeleine Noyum (Université de Douala) remporte le lancer de javelot chez les dames avec un jet à 33,47 m. En saut en longueur messieurs, Marcel Mayack (INJS) a été plus loin que tout le monde avec un bond à 7,03 m, permettant à son institution de remporter une 3e médaille en or. Enfin, Beyeck a Mbassa (IUG) est sorti victorieux de l’épreuve de lancer de poids messieurs avec un jet à 13,01 m.

Les disciplines traditionnellement dévolues aux hommes et dans lesquelles concourent les femmes sont très courues par le public, à l’image du football féminin. Mais la plus grande côte d’amour revient incontestablement à la lutte féminine. L’innovation de cette édition semble déjà être une réussite, avec quinze universités inscrites, selon la Fédération nationale du sport universitaire et un public toujours plus nombreux. En lutte libre, six finales se sont disputées en fin d’après-midi au gymnase de l’école supérieure des travaux publics.

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