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Dossier de la Rédaction

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Neuf barrières de contrôles supprimées sur l'itinéraire du Transport de sable

sable-carriere-vente-camion-chargementC’est l’une des résolutions prises à l’issue de la réunion convoquée par le gouverneur du Centre avec les transporteurs de sable et autres intervenants lundi dernier à Yaoundé.

Déjà plus d’une semaine que les activités ont repris du côté de Olembé, lieu dit « marché de sable ».

Depuis lundi 1er juin, les affaires semblent aller pour le mieux. Le long de la route, les creuseurs perchés à l’arrière de gros porteurs et munis de pelle transvasent le produitvers des camions au sol. Certains installés en bordure de route, interpellent les camionneurs qui arrivent à la queue leu-leu sur le site. Les revendeurs, quant à eux, ne cessent d’interpeller les passants, leur proposant du sable. « Les choses reviennent progressivement à la normale. Par rapport à la semaine dernière, où l’activité peinait à redécoller », explique Armand Pouene, l’un des revendeurs. On note un enthousiasme du côté des transporteurs, creuseurs, revendeurs et autres intervenant du secteur sable. Et pour cause !

C’est que les résolutions prises à l’issue de la réunion multipartite convoquée lundi dernier à Yaoundé par le gouverneur du Centre ont porté leurs fruits. Selon le président du syndicat national des transporteurs, creuseurs, agents commerciaux, revendeurs, chargeurs et intervenants du sable et gravier (Synastrascam), Fréderic Ambono Noah, tout le monde est satisfait de la décision prise par l’autorité administrative. En l’occurrence, la suppression de neuf barrières de contrôles sur les 12 opérationnelles sur le tronçon. Des trois postes de contrôle maintenus, on compte  deux contrôles mixtes des forces de maintien de l’ordre et une barrière de  prévention routière. L’autre mesure importante décidée par Joseph Otto Wilson concerne le pont bascule. Le panneau électrique ne fonctionnant plus, les activités de la station de pesage de Meyos ont été suspendues, au grand bonheur des camionneurs. Les sableurs se plaignaient également des services des impôts, situés sur cet axe. « On nous faisait payer l’impôt sur le revenu deux fois, à Yaoundé et dans la Lékié. Le département ne reconnaissait pas la taxe qu’on payait au Centre ville », indique le président du syndicat. A ce sujet, le gouverneur a demandé aux responsables des impôts, présents à cette rencontre d’harmoniser le paiement.

En outre, il a demandera aux camionneurs d’arrêter les surcharges effectuées sur les camions,  « parce que celles-ci sont à l’origine de la dégradation précoce de la chaussée ». Ordre leur a également été donné de ne plus circuler sur l’axe lourd à partir de 21 heures et d’arrêter les stationnements abusifs.

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