«Notre carte sanitaire comporte désormais trois nouveaux hôpitaux de référence : le Centre national des urgences de Yaoundé, l’hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Douala et l’hôpital de référence de Sangmélima… » Ainsi s’exprimait le chef de l’Etat le 31 décembre 2014. Paul Biya annonçait ainsi l’augmentation de l’offre en soins de qualité dans divers domaines.
A la suite du président de la République, et en sa qualité de représentant personnel du chef de l’Etat, le Premier ministre, chef du gouvernement, Philemon Yang, a procédé le 23 juillet 2015 à l’inauguration officielle de l’hôpital de référence de Sangmélima. Une structure hospitalière à vocation sous-régionale, puisqu’elle accueille des patients venant également des pays limitrophes du Cameroun. Moins d’un mois plus tard, c'est-à-dire le 18 août 2015, Philemon Yang présidait la cérémonie d’inauguration du Centre des urgences de Yaoundé (CURY). Une structure de référence qui se veut un véritable hôpital appelé à pallier aux problèmes d’urgences médico-chirurgicales de Yaoundé et ses environs. C’est un établissement hospitalier de deuxième catégorie de type
particulier, d’une capacité de 50 lits « dédié à la prise en charge des patients dont le pronostic vital est engagé ».
Une semaine plus tard, avant-hier 25 août 2015, le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda annonçait aux populations de Douala que l’Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de la capitale économique était ouvert. La carte sanitaire du Cameroun se trouve ainsi enrichie de trois nouvelles structures de référence.