Victor Yene Ossomba, secrétaire général de l’Assemblée nationale.

Monsieur le secrétaire général, à l’ouverture de chaque session ordinaire, vous effectuez systématiquement une visite de toutes les structures du secrétariat général. Est-ce un rituel ?

Aucune session ordinaire ne ressemble à une autre. Par conséquent, rien n’est immuable. Notre ambition est de consolider les acquis et se projeter vers une quête permanente du meilleur pour les députés. C’est une inspection à l’effect de s’assurer que les directives données au cours des réunions de coordination ont été scrupulousement respectées.

Pouvez-vous nous dire quel est l’état des préparatifs de la session ordinaire de novembre 2015 ?

Globalement, nous nous situons à 95% des objectifs que nous nous sommes fixés. Nous restons mobilisés et vigilants sur les détails.

La session ordinaire de novembre semble être la plus importante de l’année législative de par l’intérêt qu’elle suscite ?

En ce qui nous concerne, il ne saurait exister une échelle de valeur entre les sessions ordinaires. Chaque session ordinaire a sa singularité et pour le cas d’espèce, cette singularité réside dans le fait qu’elle est consacrée en partie à l’examen du budget de l’Etat.