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Dossier de la Rédaction

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Un partenariat fructueux

Les fruits de la coopération entre le Cameroun et l’Agence française de développement (AFD) sont si nombreux qu’il faudrait un espace beaucoup plus grand pour pouvoir les énumérer de façon exhaustive.

On retiendra, brièvement, que le Cameroun est l’un des premiers bénéficiaires des financements de l’AFD en Afrique subsaharienne, avec 200 millions d’euros en moyenne par an depuis dix ans. En outre, avec plus de 730 millions d’euros de prêts souverains depuis 2010 et un Contrat de désendettement et de développement (C2D) d’un montant de près d’1,4 milliard d’euros, la France accompagne le Cameroun dans la réalisation de projets structurants en matière de développement rural et urbain, de santé, d’éducation et de formation professionnelle. Contribuant, de ce fait, à l’amélioration des conditions de vie des Camerounais. A titre d’illustration, 30 000 chèques-santé ont été distribués dans le septentrion pour lutter contre la mortalité maternelle et infantile ; plus de 600 salles de classe ont été construites ou réhabilitées ; 3 000 agriculteurs ont été formés ou sont en cours de formation et le programme d’appui à la compétitivité du secteur devrait augmenter sensiblement les revenus de 250 000 producteurs agricoles.                                                                                                                            

Dans le domaine de l’urbanisme, les bienfaits de cette coopération sont tout aussi visibles. C’est le cas du deuxième pont sur le Wouri en construction, du désenclavement des quartiers et des projets d’assainissement des villes de Yaoundé et Douala, destinés à améliorer la gestion du risque d’inondation et des maladies hydriques. Comment oublier le soutien apporté par l’AFD et sa filiale Proparco au système financier local pour faciliter l’accès au crédit des petites entreprises ? Si bien qu’à ce jour, plus de 3 000 PME ont été financées et 106 milliards de F directement injectés dans l’économie camerounaise.                                                                       

Et ce n’est pas tout. Car la signature annoncée à la fin de ce mois du troisième C2D d’un montant de 611 millions d’euros (environ 400 milliards de F CFA) pour une durée de huit ans,  devrait permettre de maintenir l’effort d’investissement dans les secteurs prioritaires que sont l’agriculture, les infrastructures et les secteurs productifs, y compris bien sûr la formation professionnelle. En perspective, il y a également, en bonne place, le soutien au secteur privé qui va se poursuivre avec un appui au système bancaire local pour faciliter le financement de l’économie et favoriser la croissance et l’emploi. Tout comme seront accompagnées les entreprises publiques dans leurs programmes d’investissements structurels.

 

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