Emmanuel Essissima, président de la fédération Camerounaise de kickboxing.

C’est quoi le kickboxing ?

Le kickboxing est née des les années 70aux états unis lors d’une compétition de karaté ou les grands karateka en avais mars d’être refouler tous le temps parce qu’ils n’avaient pas le droit de toucher. Les américains se sont réunir avec un groupe d’européens et ils ont créé d’abord c’est qui s’appelait karaté contact. C’est par qu’on a connu des grands champions qui ont même faire du cinéma comme Bill Wallace.

Et après ils se sont dites il faut professionnaliser le sport. Ils ont créé le Professional Karaté Association. C’est là ou est née le kickboxing avec l’apport de taekwondo parce que les athlètes de taekwondo touchait mais avec des protections. Le kickboxing se pratiquait sur le tatami. Au de-là le karaté contact est devenu le full contact. D’autres l’appelait la boxe américaine comme il y avait les boxes Anglaise, françaises et Thaïlandaise. 

Mais il ya avait les gens qui pratiquaient la boxe française comme moi et d’autres qui pratiquait la boxe salle et qui voulait toucher au niveau du genou. D’abord c’était le kick est c’est devenu la boxe thaï et puis kickboxing. Le kickboxing est née  avec des spécialités a l’intérieure comme en athlétisme comme le low kick, light contact, K1 avec le coup de genou.

Aujourd’hui le kickboxing est mieux structuré par la WAKO, la World Kickboxing Organisation, WAKO. Nous avons encore beaucoup d’associations comme la boxe anglaise La WBA, WBC mais la fédération la mieux structuré qui a déposé son dossier au comité international olympique est la WAKO.

Comment elle est venue au Cameroun et auquel des instances faitières international este que le Cameroun est affilié?

Le kickboxing vient au Cameroun vers les années 75 à travers Eric Essissima qui revient de l’Europe et craie son association ‘le Savate Boxing Club de Yaoundé’ et il s’affilie à la fédération de judo et après la fédération de karaté. Et puis le père Ayissi qui faisait de la boxe française dit que tout ça c’est la boxe et le kick boxing quitte la fédération de savate et joindre la fédération de boxe jusqu’en 1996 quand j’arrive et on propose de crée la fédération de savate kickboxing pour rassembler tout les sport de combats.

Nous avons eu l’agreement en 2002 et nous avons fonctionné jusqu’en 2008 quand les âmes intelligents on penser à scinder cette fédération en deux, la fédération de boxe française et le kickboxing. Depuis 2008 nous deux fédérations; la fédération camerounaise de boxe française et la fédération camerounaise de kickboxing.  Nous avons un championnat depuis 202 et nous nous sommes affilié à WAKO. Nous étions en 2007 aux jeux africains en Algérie avec cinq athlètes et on est revenus avec quatre médailles.

Et depuis 2007 avec la création de la confédération africaine,  le Cameroun faire partis des cinq meilleures nations de kickboxing. Nous sommes premier nation depuis 2014. Au niveau national nous avons créé des ceintures pour différencier les niveaux ; classe A et classe B et chaque classe a ceinture.

Le kickboxing n’est pas très connu au Cameroun malgré sont existence depuis 2002. Qu’est ce qui explique cette situation ?

Le kick boxing est connu parmi les initiés. Chaque fois qu’on essaie de présenter cette discipline, les gens viennent. Le kickboxing a était a l’origine des sports de contact féminine au Cameroun. La majorité des jeunes filles qui pratiquent la boxe anglaise sont issues de kickboxing. Le kickboxing a toujours travaillé en étroite collaboration avec la fédération de boxe.

La preuve est que cette année Ismaël qui avait l’âge de 12ans quand nous l’avons récupérer, va représenter le Cameroun aux jeux olympiques à Rio. Fossala qui est champion d’Afrique en kickboxing depuis 2014 aujourd’hui va représenter le Cameroun également en boxe anglaise. Vous voyez donc que le kickboxing vit au travers les autres sports de combats.

On a besoin de pouvoir regarder les sports qui font émouvoir la jeunesse. Le kickboxing faire parti des fédérations qui font rêver notre jeunesse. Il suffit d’aller vers ceux qui nous tendent la main. Nous continuons à vulgariser ce sport. C’est vrai paris n’a pas été construire en un seul jour et nous espérons que vous n’aller pas nous lâcher en cour de route.