Bannière

Newsletter


Publicité

Bannière
PUBLICITE

Dossier de la Rédaction

PUBLICITE
Bannière

Une stratégie contre la criminalité

Ngaoundéré (Vina) - Il ne se passe pas une semaine sans qu’on entende parler des opérations de prise d’otage réussies ou avortées dans la région de l’Adamaoua. Ce phénomène lié à la criminalité transfrontalière qui perdure malgré les efforts conjugués de chacune des parties en face-éleveurs, autorités administratives et traditionnelles, forces de maintien de l’ordre -, met à mal l’activité économique qui en découle. Cet état de chose préoccupe au plus haut lieu les autorités administratives, militaires et traditionnelles de la place.

Il en a encore été question lors de la réunion de coordination administrative et technique des services publics et parapublics que vient de tenir en fin de semaine dernière Kildadi Taguiéké Boukar, gouverneur de la région de l’Adamaoua. Un exposé fort édifiant a été fait par Fouapon Alassang, préfet du département du Djerem, qui partage une frontière avec la RCA. « Chaque jour, nous redoublons d’inventivités pour venir à bout de toute forme d’insécurités avec l’afflux des réfugiés » a-t-il expliqué.

D’entrée de jeu, a relevé Kildadi Taguiéké Boukar « aucune zone d’ombre ne sera épargnée pour venir à bout de ces malfrats tapis dans des bosquets qui écument dans hameaux de berger pour les faire chanter contre rançon ». Préfets, responsables de maintiens de l’ordre, ceux du corps judiciaire ont tablés sur de nouvelles mesures pour venir à bout ce « cette hydre ». « Cette plaie à l’élevage du plus grand cheptel bovin du Cameroun s’étend chaque jour un peu plus », tel que le présente Djaouro Hamoua Hamadou, président de la Fédération des sociétés coopératives des éleveurs bovins de l’Adamaoua (FERELAD).

 

 

Commentaires (0)
Seul les utilisateurs enregistrés peuvent écrire un commentaire!

!joomlacomment 4.0 Copyright (C) 2009 Compojoom.com . All rights reserved."



haut de page  
PUBLICITE
Bannière