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Dossier de la Rédaction

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Interview: «Les premiers bébés sont là»

Professeur Jean Marie Kasia, Directeur General, du Centre Hospitalier de Recherche et d’Application en Chirurgie Endoscopique et Reproduction Humaine.

Professeur Kasia avec ce bébé tout frais tout beau on peut dire ouf ?

Oui bien videment ouf parce que ça faire quand même vingt-deux ans. Vingt-deux ans c’est-à-dire que notre bébé éprouvette je te rappel que ce nous qui avions faire le première bébé éprouvette au Cameroun à 1994. Et vingt-deux ans après nous avons attendus effectivement que le centre soit prêt pour qu’on puis rentre en puissance.

Et les premiers bébés ils sont là. Il y a trois ce martin et ce celui-ci est spéciale.  Spéciale parce qu’en fait une grosses que nous avons obtenue chez une femme de 52 ans ménopausée qui n’espérer plus avoir un enfant et qui finalement chez qui on a pu procéder à une technique de pointe actuellement qui est réaliser dans le monde en certains pays qui autorise comme l’Espagne, les Etats unis qui en ont fait dernièrement, l’Espagnol ont faire à une dame de 60 ans donc nous à 52 ans on en a réussir qu’a même une.

Se pour ça que effectivement cette accouchement il est spéciale. Spéciale aussi parce qu’en fait cette grosses a très très haute risques. Les neuf mois on a était très stresser et vous comprenez la joie de toute l’équipe qui m’accompagne aujourd’hui, les pédiatres, les chirurgiens, les anesthésistes tout le monde ce la grande joie. Pour nous cette la joie spéciale.

En quoi consister l’opération ?

En fait nous avons procédez ici a une césarien. Cette une césarien classique comme les autres. En ce sens que la technique ne change pas. Le problème ce que se le personnel ici qui ont faire cet intervention qui est spéciale. Parce que Sarah je ne sais pas comment elle avait accouché à l’époque comme c’était divin ça se passer aussi divinement mais ce gendre n’est pas spéciale on est obligé de faire une césarien.

Et là nous avons faire une césarien et la plus simple possible comme vous l’avez vue. La maman et l’enfant se porte bien et je croire que nous sommes tous très heureux et se le mérite de toute l’équipe ce n’est à mon médicament et nous allons absolument rendre un grand hommage à Dieu d’abord et rendre un grand et vibrant hommage au couple présidentiel qui a permis à ce que ceci soit se pas. Nous on est là juste pour accompagner la démarche qui va se poursuivre bien évidement parce que vous aurez des accouchements tous les mois ici jusqu’au mois de décembre pour les premiers cas que nous avons pu réaliser.

Professor you spoke about the health of the lady who is 52 years old and that certainly means a particular way for the follow up after the birth of the baby. What are the masseurs that will be taken to ensure the health of both the mother and the baby?

For the child i twill be exactly what will be done for any child. There are no particular conditions except if the patient herself had a previous problem. But she didn’t have any problem. Yes, towards the end she started having a little bit of high blood pressure that was three or two days ago. I think it was because of the anxiety not because she was a hypertensive patient.

So to the mother we are going to give her the exact care like that of any woman who has given birth. But only that she is an old woman she has to be very careful. At any time something can happen even immediate postpartum or late postpartum. So we have 48 hours an even one week to follow this patient here to ensure that everything is okay.

How is the baby?

She is doing very well. You can see for your selves.  She was even smiling with her mother here. I think it is a very good sign.

Does it mean other ladies who are above 50 years because you said in Spain 60 years for a woman it was possible. Does it mean in Cameroon also it can happen?

There only thing I can say is that we want to see how far we can go and how far we can improve our technology here in Cameroon. But the major problem is that we shouldn’t encourage patients to wait to this age before attending our clinic. We waited for women who want to achieve pregnancy to be here before 40 years old. But this is a special case. The problem that unfortunately we had a lot of patients who are waiting since forty years.

Since I am here in Cameroon about 30 years now I consulted many women can you imagine the number who had this number of problems and who couldn’t achieve the invitro fertilization techniques. So we have a big number of women who are waiting but I am not sure that we can satisfy all those women. What I am saying Cameroonians is that when you have problems come very early. It is better to have a child come at least 30, 35 at least 48 than at 42 or 60.  

Should we always expect successes in such operations or there can be situations where there are failures?

Yes it is not a routine situation. We have two patients one is 55 years. Now I can tell you that the pregnancy is very difficult to handle. So I think the success is not always sure but I think it is better to make them have their baby before. If you have to perform it we can perform it since the demand is very high. Now we are going to start another series of 60 patients. We have 30 that are below 30 years and 30 that are below 42 years.

The problem is if we are right because there are two rights here, the right to achieve a pregnancy and the right to have a child. So we have to deal with those two rights; can we refuse the patient who comes to see us at 60 years old? It is her right. But the government will see how it is going to put out things in order to put out the rules.

We propose the rules and the laws and we are waiting for the decisions. I am here to provide the technologies offered to the people. Now the society has to choose even according to the religions. According to the religions the situation can be different. Certain things are forbidden to certain religion.

L’opération est désormais appliquer avec suces. Est-ce que ça n’ouvre pas la voir à une foi le bébé au CHRACERH. C’est-à-dire je suis une jeune femme seul et puis je veux avoir un bébé est-ce que je peux venir?

Le problème ne se pose pas en terme de femme seule parce que qui est autorisé à accéder a cette technique c’est toute couple. Parce qu’il faut parler ici de couples. C’est n’est pas un problème de femme seul ou d’un homme seul. C’est un problème de couples et un couple hétérogène et un couple hétérogène c’est à dire l’homme et la femme. Nous ne pratiquons pas la grosses pour tous. Nous sommes là pour les hommes et les femmes qui viennent nous voir en disant consentement commun ils dissent nous voulons faire un enfant.

A ce moment nous acceptons. Là où nous avons commencé à avoir de problèmes cette une de patients qui venait de la France qui est français et nous avons commencé le traitement. Elle est enceinte actuellement. Mais pourquoi elle est venue ici de la France comme une qui vient de Turquie et une qui vient du pays du golfe. Celle qui est enceinte elle a eu six tentatives en France et la France ne paie que six tentatives. Au bout de six tentatives vous êtes obligés de payés vous-même les autres tentatives quand ça ne marche pas. Et ça n’as pas marche au bout de sixième tentative. Maintenait elle était obliges de payer elle-même.

Hors pour payer elle-même ça coute très chère. Vous voyez ces des couts qui vont entre dix et quinze mille euros par cas alors que chez nous ici contrairement à ce que les gens disait la fécondation in vitro ne coute pas deux million au CHRACERH elle coute un million. Je dire bien un million. La Person qui vous dire un million non. Les gens apprendre donc ça par tout puis que Cameroon tribune est lu dans le net, CRTV est dans le net. Donc les gens  suivre exactement ce que nous faisons ici avant de commencer à avoir donc des gens qui viennent. Les echèques qui sont dans les pays européens viennent maintenant ici parce qu’effectivement c’est moins cher.

Donc vous voyait que la aussi nous commençons à avoir un sort de rouer vers le Cameroun et je pense que nos autorités un a un président du comité de gestion, qui est le président Séraphine Magloire Fouda qui est un grand économiste et qui regarde ce problème et certainement va nous dire ce qu’il faut faire pour ce genre de situation là. Mais nous avons reçus beaucoup de demandes de pays voisins. Vous avez-vous tout à l’heure pendant que j’étais en train d’opérer il y’avait un coup de fil venant du Gabon pour de couple Gabonais qui veux venir ici. Donc c’est tous les jours que nous avons ces demandes-là. Ça va être un problème mais il faudra le régler.

Il faut régler avec tout le reste qui est au tour parce qu’il faut accueillir  se gens, leurs offrir de convivialité, il faut pour que comme faire au tunisiens, comme on faire en Afrique du sud. Je pense que nous avons la une grand réflexion à faire. C’est la même chose qui va se faire pour le cancer gynécologique que nous traitons déjà mieux ici et pour la chirurgien endoscopique aussi donc ce autant des choses que il faudrait que le CHRACERH voit dans une proche avenir parce que il y a déjà une demande important sur toutes le plans.

                          

 

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