Les travaux de la Conférence de la sous-section locale se sont tenus samedi dernier.
C’est dans une ambiance festive que les responsables de la sous-section RDPC de Johannesburg se sont retrouvés samedi, 30 juillet dernier, au centre de la cité économique sud-africaine à l’initiative de Sama George Sambit, leur président, dans le cadre des travaux de leur conférence de sous-section. Au total, environ une vingtaine d’interventions, essentiellement les présidents des cellules locales qui ont fait le point sur le déroulement des activités sur place. Ils ont passé en revue les difficultés auxquelles ils sont confrontés dans le cadre de ces activités, et dont les moindres ne sont pas la mobilisation de nouveaux militants pour aller s’inscrire sur les listes électorales au siège du Haut-commissariat du Cameroun situé à Pretoria, le matériel de travail… Toutefois, Sama George Sambit n’a pas manqué de relever que beaucoup a été fait par rapport à la situation qui était celle du parti ici lors de sa participation à l’élection présidentielle de 2011.
Il a tenu à saluer le climat de paix qui règne au Cameroun grâce aux « actions du président Paul Biya », ceci dans un environnement plus que conflictuel. En prenant la parole lors de ces travaux, le président de la section RDPC d’Afrique du Sud, Pascal Monkam s’est appesanti sur les mesures à mettre en place en vue d’amener le plus grand nombre de militants du RDPC à aller s’inscrire sur les listes électorales avant le 31 août prochain, appelant pour cela au « sens de la générosité » des principaux responsables qui ont été invités à ne ménager aucun effort pour y parvenir. Si le candidat du RDPC est arrivé en tête lors de l’élection présidentielle de 2011 avec près de 51% des suffrages exprimés, Pascal Monkam a exhorté ses camarades à travailler pour aller au-delà de ce score lors de la prochaine élection. Il a félicité les responsables de la sous-section de Johannesburg pour l’initiative de l’organisation des travaux qui ont permis, selon lui, de passer en revue le fonctionnement du parti et d’apporter des corrections lorsque cela s’avérait nécessaire.
